Ou l'on parle de la Suisse, d'amertume ... et de pignons de pin !
D'abord la Suisse. Avant même de commencer, l'aventure se termine. Cela faisait deux mois que je vous parlais de mon départ vers la neutralité incarnée. Pour rien. Alors que j'avais donné ma réponse le 20 décembre, envoyé les papiers réglementaires (et même plus, appris-je par la suite), j'ai découvert en fin de semaine dernière que les autorité neuchâteloises n'avaient jamais entendu parler de moi :oS Les lenteurs que je leur reprochais n'étaient pas de leur fait. En fait, moi seul pouvait déposer le dossier en me déplaçant. Et je l'obtenais sous 10 jours. Encore eût-il fallu le savoir. Mais non. C'était déposé, paraît-il. Et ils sont looooongs, ces suisses (mon ex-futur patron n'est pas suisse, je précise).
Bref, une fois appris ça, vous pensez bien que j'ai cherché à obtenir des explications. Et c'est là que ça coince. Déjà, il a fallu plusieurs jours pour avoir un début de réponse. Et non seulement je n'ai obtenu aucune justification de ce mensonge, mais je me suis fait eng... d'avoir contacté les autorités locales. A croire que tout devait se faire dans la clandestinité. Inquiétant.
C'est ce que je me suis dit après une petite journée de réflexion. Même si les histoires de papier s'arrangeaient par la suite, comment renouer un lien de confiance ? Mission impossible.
Exit donc la Suisse. Moi qui me réjouissait de me rapprocher de chez Olif, c'est raté (sauf si tu me trouves un travail dans le coin, camarade!). Il n'empêche que mes cartons sont toujours emballés, et que je suis prêt à partir vers une nouvelle destination si une place intéressante m'est proposée... (ayant trait au vin, si possible, ou à la bio, autre secteur que je connais bien).
En lisant le blog qui m'a piqué mon nom, je suis tombé sur un texte qui m'intrigue. Il y a deux ans environ, j'avais eu le problème qu'évoque l'auteur : pendant plusieurs jours d'affilée, je trouvais tout amer. Même ce qui ne l'était pas. Contrairement à lui, je n'avais pas pensé à regarder sur internet. Car j'aurais trouvé la solution :
Eh oui : manger des pignons de pins provenant de Chine ou du Pakistan (à mon avis les 3/4 de ce que l'on trouve sur le marché) peut donner des sensation d'amertume durant la semaine qui suit l'ingestion. C'est confirmé par un nombre impressionnant de témoignages. Je signale que vous pouvez le signaler au centre antipoison le plus proche, afin de faciliter les recoupements et contribuer à l’identification du coupable.