27 juin 2009
Mes reprises préférées
Il est rare qu'un chanteur (ou un groupe) ne cède pas à un moment ou à un autre à la tentation de la reprise. Tout simplement parce qu'il est comme vous et moi : il écoute des disques, tombe amoureux de certaines chansons et les chante. En général, ça s'arrête pour nous à la salle de bain. Pour lui, ça peut aller jusqu'au studio ou à la scène. Commençons par une reprise connue par les fans de Bowie d'Amsterdam de Brel. Je trouve les paroles en anglais d'une grande beauté (traduites par Mort Shuman) et l'accompagnement à la guitare... [Lire la suite]
20 juin 2009
Schubert en 10 morceaux incontournables

13 juin 2009
La BOF attitude

09 juin 2009
Variations Goldberg : laquelle choisir?

22 mai 2009
L'album du jour, le retour : Porgy and Bess (Ella and Louis)

14 mai 2009
L'album du jour : Mnemosyne (Garbarek & Hilliard Ensemble)

13 mai 2009
L'Album du jour : The Velvet Underground
Plus de quarante après leur enregistrement, ces deux disques du Velvet Underground sont d'une fraîcheur incroyable. Il y a certes des morceaux qui ont vieilli plus d'autres, mais ils ont alors le charme des vieilles photos qu'on retarde avec tendresse. Sur le CD1, quasiment tout est parfait, que ce soit Sunday Morning, femme fatale, Venus in furs, All tomorrow's parties, Heroin, I'll be your mirror... The black angel's death song montre un John Cale en transe avec son violon et Lou Reed en conteur un peu déjanté.Le CD2 commence avec... [Lire la suite]
12 mai 2009
L'album du jour : Il Giardino Armonico ou un Vivaldi défoncé à l'acide

11 mai 2009
L'album du jour : a rush of blood to the head (Coldplay)

10 mai 2009
"De torrente in via bibet" ou la délectation morose
C'était il y a une vingtaine d'années. J'écoutais Philippe Meyer qui avait une émission sur France Musique - en plus de la chronique qu'il tenait sur France Inter - et le thème du jour était la délectation morose. Il illustrait celle-ci par des exemples, et l'un me frappa comme la foudre quand je l'entendis (appuyer ICI et revenir au texte en laissant la musique tourner).
Ces deux voix déchirées qui s'entrecroisent sont d'une tristesse absolue, et en même temps, on ressent une jubilation inouïe à les écouter tellement c'est beau,... [Lire la suite]