
Après deux mois et demi d'intense frustration où je n'ai cuisiné que pour moi-même – et je ne peux pas dire que je me gâte particulièrement même si je me refuse à manger mauvais – cela relève de la nécessité intérieure de mettre les petits plats dans les grands et de passer 2 jours aux fourneaux pour concocter un vrai repas qui réjouira des amis gastronomes. C'est long, fastidieux. Ça ne se passe pas toujours exactement comme vous le souhaiteriez. Mais c'est aussi excitant, trépidant, avec des brefs moments jubilatoires....
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