Ca va être l'une des recettes les plus courtes du blog. Il suffit de dénoyauter les pruneaux, les farcir avec une amande grillée et les enrouler avec le jambon (compter 1 tranche pour 4 pruneaux). Fini!

Plutôt banal, me direz-vous. Ce qui l'est moins, c'est la façon dont ils ont fini. Ils n'ont jamais été mangés (sauf un que j'ai goûté : très bon !). Je les avais préparés pour le concours dont je vous ai parlé il y a quelques jours. Vu que je pars sur Bordeaux directement du travail, je les avais amenés avec moi le matin et entreposés au frigo. Le soir, j'étais bien chargé : j'avais mon ordinateur portable, mon sac à dos, deux bouteilles ... plus cette assiette. Difficile d'ouvrir la portière, poser mes affaires dans la voiture. Dans un premier temps, pour me débarrasser une main, j'ai mis l'assiette de pruneaux sur le toit de la voiture ... Et il n'y a pas eu de deuxième temps !... Après avoir posé mon ordinateur, mon sac, les bouteilles, j'ai regardé ma montre, fait ouh la la ,  fermé la porte de la voiture et démarré. Mon collègue m'a vu partir avec mon assiette sur le toit, a essayé de me prévenir, mais je n'ai ni vu ni entendu. Une minute plus tard, j'ai un coup de fil sur mon portable. C'est Christophe qui me dit que mon assiette est en bas de la côte de Tirecul, explosée sur la route ! Bah, tant pis, me suis-je dit : il y a toujours largement de quoi manger. On fera sans...

Je ne sais pas si l'on peu considérer cette aventure comme un signe précurseur de ce qui m'est arrivé quelques heures plus tard (la panne de la voiture). Peut-être une confirmation de la loi de l'emm... maximum ?

A ce sujet, j'ai déjà récupéré ma voiture. C'était bien l'alternateur. Ca ne m'a coûté QUE 300€ pour le remplacer. Le genre de truc qui me confirme que moins l'on voit un garagiste, mieux l'on se porte.