
Je ne sais pas si c'est l'âge, mais je tends en ce moment vers la simplicité. Ce qui n'a rien à voir avec le banal, ou le bon sans plus. Plutôt simplifier le contenu de l'assiette, pour mieux apprécier le mariage entre deux ou trois ingrédients.
Ici du thon. Cuit intensément à l'extérieur, quasi caramélisé. Cru et fondant à l'intérieur.
Et du cresson. Pas pur. Cela déséquilibrerait le plat. Une botte de ce crucifère a cuit dans l'eau du cuit-vapeur qui contenait des pommes de terre. Puis essorée, et passée au moulin à légumes,...
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