
L'histoire démarre chez le boucher. Je lui demande le dernier filet mignon présent sur l'étal. Il s'en saisit, le met sur le billot, l'ouvre en portefeuille et fait de larges croisillons avec son grand couteau. Bigre, je ne lui ai rien demandé de la sorte, au brave homme! Sous le choc, je reste coi, paye et repart avec mon filet sous l'bras.
Arrivé à la maison, une réunion stratégique de mes neurones s'impose. Thème de celle-ci: que faire de cette métamorphose inattendue de mon filet? Les croisillons m'inspirent. On les imagine...
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